Sourcellerie

Un intérêt de longue date

Depuis longtemps, j’ai toujours été intéressé par le domaine de l’irrationnel, celui qui ne s’explique pas, qui s’observe, se respecte, se constate, et qui en l’état actuel de la science et de ses connaissances, n’a aucune explication concrète. Il y a en chacun de nous une part de savoir instinctif que la raison n’explique pas. La recherche de l’eau en est une facette, une des plus simples et des plus connues.

De tout temps, les sourciers ont existé ; dans chaque ville, quartiers ou village, on en comptait un ou plusieurs, certains étaient également guérisseurs, rebouteux. Quant aux outils du sourcier d’autrefois, ils étaient relativement classiques, simples et comprenaient essentiellement pendules et baguettes.

Un travail technique et d’adaptation

Pendant des siècles, les méthodes et les outils n’ont véritablement pas changé. Quant au sourcier d’aujourd’hui, son art devient plus technique, plus exigeant, et l’oblige à étendre ses connaissances pour progresser, s’adapter à la demande, à la région ou à la géologie. Il est en train de devenir un véritable technicien de la recherche de l’eau.

Les pionniers de l’époque ont effectué un travail utile et nécessaire, ne serait-ce que pour faire prendre conscience aux générations d’aujourd’hui de la réalité des liens étroits qui unissent l’homme à l’eau et à la nature.

En résumé, afin de compléter mes compétences au niveau tellurique, il m’est paru comme une évidence d’apprendre cet art si intuitif et en même temps si technique qu’est la sourcellerie.

Je suis actuellement en formation à l’école de sourcellerie de Damien Evoque.
Je pourrai proposer cette prestation dès septembre 2020 (à confirmer selon l’évolution du COVID-19).